Que l’on soit natif de Guadeloupe, guadeloupéen de cœur ou d’adoption, il nous apparaît à tous essentiel de préserver le patrimoine naturel, grace à un broyeur de branche permettant de faire du compost qui donne à l’archipel sa spécificité, sa richesse et sa splendeur.
La création de l’antenne Guadeloupe du Conservatoire Botanique des Antilles Françaises (association de type loi 1901) en mars 2002 s’est inscrite dans cette démarche.
L’antenne Guadeloupe du conservatoire concerne l’ensemble de l’archipel Guadeloupéen, c’est-à-dire les îles de la Guadeloupe, de la Désirade, des Saintes, de Marie-Galante, de Saint-Barthélemy, ainsi que la partie française de Saint-Martin, soit un total de 1 703 km² .
Les Antilles font partie de l’un des 34 points chauds de Biodiversité mondiale.
Bien qu’elles aient été profondément modifiées sur plus de 80% de leur surface,
la Martinique et l’Archipel guadeloupéen ont encore une richesse végétale au km2,
75 fois supérieure à celle de l’Hexagone.
…Mais menacé!
Plus de 25% des 2000 espèces de plantes natives des Antilles françaises, dont plusieurs dizaines n’existent nulle part ailleurs, sont menacés de disparition d’ici quelques années.
La conservation du patrimoine biologique antillais apparaît désormais comme un enjeu planétaire,
qui a justifié la création du Conservatoire Botanique des Antilles Françaises.
La destruction et les intrusions fréquentes en milieu naturel entraînent la disparition des habitats et la raréfaction voire l’extinction de certaines espèces.
Le Conservatoire botanique des Antilles françaises a quatre missions :
Mieux connaître la flore locale:
L’amélioration des connaissances sur la flore sauvage et menacée et
sur le fonctionnement des écosystèmes qui l’abritent. C’est nécessaire pour localiser et suivre les populations sensibles, évaluer les risques encourus par la végétation autochtone, suivre l’état des écosystèmes, et réaliser une conservation efficace
des plantes.
Conserver les espèces indigènes rares et menacées:
Les opérations de conservation visent à pérenniser les populations dans leur milieu (conservation in situ), voire hors de leur habitat naturel (culture in vitro, serre, jardin…) lorsque c’est indispensable à la sauvegarde de l’espèce.
Apporter aux pouvoirs publics:
une expertise scientifique et technique relative
aux habitats naturels et semi-naturels.
Informer et sensibiliser la population et les collectivités locales
sur la richesse du patrimoine végétal et sur les menaces existant sur cette flore.
A l’issue d’un examen attentif, les spécialistes de la flore sauvage antillaise ont identifié les plantes qui se raréfient et les quelques 200 qui risquent de disparaître à brève échéance. Cet inventaire fait l’objet d’un projet en cours de publication officielle: le Livre Rouge des espèces menacées aux Antilles françaises.
Nous avons choisi d’associer les acteurs (jardins et assimilés, privés ou publics…) de la valorisation du patrimoine naturel à notre démarche de préservation de la biodiversité antillaise.
La création d’une base de données, couplée à un système d’information géographique (localisation des populations menacées et de leurs habitats), est l’une des missions essentielles du Conservatoire.
Régulièrement mis à jour, cet outil est indispensables à la mise en oeuvre d’opérations de protections, de conservation et d’aménagement du territoire.
A la demande de ses partenaires, le Conservatoire peut-être amené à réaliser des expertises sur le diagnostic d’un écosystème, la conception et le suivi d’une opération de restauration écologique.
La formation des jeunes, aux échelons scolaires et universitaires, doit conduire à une meilleure prise de conscience de la richesse biologique et écosystémique des îles antillaises. Des documents, des conférences et des enseignements spécifiques sont élaborés à cette fin.
Le conservatoire s’est spécialisé dans l’étude des utilisations traditionnelles des plantes d’origine caribéenne ou américaine aux Antilles françaises.
Cette thématique sera particulièrement porteuse pour le rayonnement du CBAF ;
en effet, plusieurs congrès internationaux ont attiré l’attention sur le rôle reconnu aux jardins familiaux tropicaux, de limitation de l’érosion de la biodiversité.
Néanmoins, notre spécialisation sera d’autant mieux accueillie, et donc mobilisatrice,
si nous parvenons à privilégier une approche pluridisciplinaire intégrant judicieusement
certaines disciplines des sciences humaines (histoire, sociologie, psychologie, anthropologie…).
Dans cette perspective, la récente contribution de Lucien DEGRAS à la connaissance des jardins antillais, intitulée “Le jardin créole, repères culturels, scientifiques et techniques” (2005), constitue un jalon incontournable pour commencer à appréhender comment les jardins créoles contribuent à la dynamique
de conservation et de valorisation des ressources botaniques patrimoniales.
La mise en œuvre de notre spécialisation pourrait partir d’une étude comparative des pratiques associées aux jardins caraïbes / créoles en Guadeloupe et en Martinique, s’intéressant particulièrement à leur impact sur la biodiversité.
Par exemple, une étude de la boisson Amérindienne Mabi a montré que certaines espèces entrant dans la fabrication de ce breuvage (encore très prisé lors de certaines fêtes ou rencontres) sont rares,
menacées, ou en voie d’extinction. La réalisation d’une exposition de sensibilisation (quatre posters) est rapidement envisageable.
Le conservatoire est né de la volonté d’un certain nombre de partenaires :
La Direction Régionale de l’Environnement (DIREN)
Le Conseil Général de la Guadeloupe
Le Conseil Régional de la Guadeloupe
L’Université des Antilles et de la Guyane (UAG)
Le Centre de coopération International en Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad)
Le Parc National de la Guadeloupe (PNG)
L’Institut National de Recherche Agronomique (INRA)
L’Office National des Forêts (ONF)
Le Conservatoire du littoral et des rivages lacustres
des associations naturalistes et de protection de l’environnement ( Aced, Aeva, Rakouri, Archipel des sciences, Association Guadeloupéenne d’Orchidophilie),
et de Jardins privés (Paysages, Parcs et Jardins des Caraïbes, Jardin Botanique de Deshaies, Domaine de Valombreuse…)
Les services apportant un appui financier au conservatoire sont :
Le Conseil Régional de la Guadeloupe, le Conseil Général de la Guadeloupe, la DIREN et le FEDER pour les crédits d’investissement et la DIREN pour les crédits de fonctionnement.
Au cours de cette année, le conservatoire présentera sa demandera d’agrément auprès du Ministère de l’environnement et du développement durable.
Le réseau “Lyann é jaden”
Il a été créé le 27 Juillet après plusieurs réunions d’informations et de lancement animé par
le Conservatoire Botanique et Sophie BEDEL. Ce réseau regroupe environ 30 membres.
L’antenne Guadeloupe du Conservatoire Botanique des Antilles Françaises propose aux
personnes détenant un jardin ou un espace d’intérêt floristique de former un réseau de partenaires.
L’adhésion à ce réseau passe par la signature d’une charte d’engagement réciproque entre le
Conservatoire et les partenaires, dans le but de les réunir autour d’objectifs communs,
visant à préserver, connaître davantage et valoriser le patrimoine floristique guadeloupéen.
Par leur signature, ils s’engagent, en contrepartie de l’appui scientifique du Conservatoire,
à respecter les engagements mentionnés dans la dite Charte.
La responsable du réseau est Mlle RANCÉ.
liste des espèces endémiques de Guadeloupe
Une espèce est qualifiée d’endémique d’une région lorsqu’on ne la trouve que dans cette région géographique particulière (montagne, île, archipel, continent…).
L’endémisme peut provenir:
Article 1.
Afin de prévenir la disparition d’espèces végétales menacées et de permettre la conservation
de biotopes correspondants, sont interdits, en tout temps, sur le territoire de la région
Guadeloupe, la destruction, la coupe, la mutilation, l’arrachage, la cueillette ou l’enlèvement,
le transport, le colportage, l’utilisation, la mise en vente, la vente ou l’achat de tout ou partie
des spécimens sauvages des espèces ci-après énumérées.
Toutefois, les interdictions de destruction, de coupe, de mutilation et d’arrachage ne sont pas
applicables aux opérations d’exploitation courante de fonds ruraux sur les parcelles
habituellement cultivées.
Phanérogames angiospermes
Monocotylédones :
Acrocomia karukerana L.H. Bailey : Dindé.
Aechmea flemingii H.E. Luther. ‘Arr. du 27/02/2006’
Aechmea smithiorum Mez
Brassavola cucullata (L.) R. Br.
Elleanthus cephalotus Garay et Sweet
Elleanthus dussii Cogn.
Epidendrum calanthum subsp. revertianum (Stehlé) Sastre. ‘Arr. du 27/02/2006’
Epidendrum ciliare L. ‘Arr. du 27/02/2006’
Epidendrum elongatum subsp. rubrum (Stehlé) Sastre. ‘Arr. du 27/02/2006’
Epidendrum mutelianum Cogn.
Epidendrum patens Sw. ‘Arr. du 27/02/2006’
Geonoma pinnatifrons Willd. : Coco-macaque.
Geonoma undata Klotzsch : Coco-macaque.
Maxillaria acutifolia Lindl. ‘Arr. du 27/02/2006’
Octomeria ffrenchiana Ph. Feldmann & Barré. ‘Arr. du 27/02/2006’
Oncidium cebolleta (Jacq.) Sw.
Oncidium meirax Rchb. f.
Oncidium urophyllum Lodd. ex Lindl.
Oncidium wydleri Rchb. f : Papillon végétal.
Prosthechea cochleata (L.) Higgins. ‘Arr. du 27/02/2006’
Psychilis correllii Sauleda. ‘Arr. du 27/02/2006’
Rhyticocos amara (Jacq.) Becc : Ti-coco.
Specklinia mazei (Urb.) Luer. ‘Arr. du 27/02/2006’
Spiranthes cranichioides (Griseb.) Cogn.
Tetramicra elegans (Hamilton) Cogn. ‘Arr. du 27/02/2006’
Trichosalpinx dura (Lindl.) Luer. ‘Arr. du 27/02/2006’
Dicotylédones :
Ammania coccinea Rottb.
Calyptranthes forsteri Berg
Colubrina elliptica (Sw.) Brizicky et Stern : Bois mabi.
Drypetes serrata Kr. et Urb.
Forestiera segregata (Jacq.) Kr. et Urb.
Guaiacum officinale L : Gaïac.
Heliotropium microphyllum Sw.
Hieronyma caribaea Urb. : Bois d’amande.
Ipomoea walpersiana Duchassaing
Mammillaria nivosa Link ex Pfeiffer. ‘Arr. du 27/02/2006’
Mastichodendron foetidissimum (Jacq.) Cronq. : Acomat franc.
Meliosma herbertii Rolfe var. herbertii : Bois-violet.
Melocactus intortus (Mill.) Urb. : Tête à l’Anglais.
Opuntia rubescens Salm - Dyck : Raquette arborescente à piquants.
Picrasma antillana (Eggers) Urb. : Bois-noyer.
Prunus dussii Kr. et Urb. : Bois-noyau.
Rochefortia acanthophora (P.D.C.) Grisebach
Rochefortia cuneata Sw. : Bois vert.
Selenicereus grandiflorus (L.) Britt. et Rose. ‘Arr. du 27/02/2006’
Sophora tomentosa L. : Haricot bâtard.
Ternstroemia elliptica Sw.
Ternstroemia obovalis Rich.
Xylosma buxifolium A. Gray : Attrape-sot.
Article 2.
Le directeur de la protection de la nature, le directeur général de l’alimentation et le directeur
de la pharmacie et du médicament sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution
du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Le ministre de l’agriculture et de la forêt,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général de l’alimentation,
A. CHAVAROT
Le ministre de la solidarité, de la santé
et de la protection sociale,
porte-parole du Gouvernement,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur de la pharmacie et du médicament,
P. AMBROISE-THOMAS
Le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre,
chargé de l’environnement,
Pour le secrétaire d’Etat et par délégation :
Le directeur de la protection de la nature,
F. LETOURNEUX
Il y a 300 plantes exotiques envahissantes dans les collectivités françaises.
Parmi cette liste, 14 espèces ont un caractère envahissante en Guadeloupe:
Espèce
Auteur
Famille
Nom commun
Antigonon Leptopus
Hook & Arn.
Polygonaceae
Liane corail
Bambusa vulgaris
Schrad. ex Wendl.
Poaceae
Bambou
Dichrostachys cinerea
(Linnaeus) R.Wight Arnott
Fabaceae
Acacia St Domingue
Eichhornia crassipes *
(Mart.) Solms
Pontederiaceae
Jacinthe d’eau
Flemingia strobilifera
( L ) R.Br.
Fabaceae
Sainfoin du Bengale
Melicoccus bijugatus
Jacq.
Meliaceae
Quenettier
0eceoclades maculata
Lindl.) Lindl.
Orchidaceae
Pennisetum Purpureum
Schumacher
Poaceae
Canne fourragère
Pinus caribaea
Morelet
Pinaceae
Pin des Caraïbes
Spathodea campanulata *
P. Beauv
Bignoniaceae
Tulipier du Gabon
Spathoglottis plicata
Blume
Orchidaceae
Syzygium jambos
( L ) Alston
Myrtaceae
Jamrosa, Pomme rose
Triphasia trifolia
(Burm. f.) P. Wilson
Rutaceae
Petit citronnelle
Typha domIngensis
Pers.
Typhaceae
Gro jon
Il y en a 2 qui sont inscrites sur la liste des 100 espèces les plus envahissantes au Monde,
Territoire français des Antilles, sur la mer des Caraïbes, la Guadeloupe est une destination phare du tourisme. Connue pour ses plages de sable blanc, mais aussi de sable noir, ses musés, sa faune et sa flore, « l’île aux belles eaux », est la première destination touristique de l’Outremer français. L’archipel est un des plus beaux endroits au monde à découvrir. Située à environ 7 000 km de la métropole, la Guadeloupe attire plus de 400 000 touristes en 2013.
Le parc national de la Guadeloupe est une vitrine de l’archipel en termes de tourisme. Si vous voulez découvrir la richesse de l’archipel en matière de flore et faune, ce parc est l’endroit idéal. Ainsi, 17 espèces de mammifères y sont répertoriées. On peut rencontrer la mangouste ou encore le racoon de Guadeloupe. On peut également rencontrer 11 espèces de chauves-souris et 33 espèces spécifiques d’oiseaux. Un joli endroit pour apprécier tranquillement la vie sauvage.
Le parc national est très riche en matière de flore. On peut y dénombrer 300 espèces d’arbres, 100 espèces d’orchidées et 270 espèces de fougères. Mis à part le fait que c’est un site touristique, levier de développement de l’archipel, le parc est une importante réserve d’eau douce pour la Guadeloupe. Une véritable opportunité pour passer d’agréables moments. La végétation offre un spectacle impressionnant aux visiteurs. On peut rencontrer des arbres avec plus de 30 mètres de hauteur. Les racines de ces arbres se mélangent avec des jeunes pousses et des fougères. Une unique ambiance, dans une verdure exceptionnelle. Depuis 1998, les professionnels du tourisme ont accordé au parc le label de qualité « Marque de Confiance ».
Si vous êtes amateurs de pêche et des activités aquacoles, le Parc Aquacole vous est recommandé. Vous pourrez y faire une belle ballade dans un site avec une surface de près de 2,5 hectares. Vous pourrez également faire la découverte des lieux. La pêche aux ouassous, rougets créoles et Loups Caraïbes fait la renommée du parc. Les poissons pêchés sont soit remis à l’eau soit achetés au poids et dégustés. La conduite d’élevage dans ce parc respecte l’environnement et les consommateurs. La visite de l’écloserie vous permettra de découvrir l’aquaculture durable.
Situé à Pointe Noire, au cœur de la Côte sous le vent, le « Parc Aquacole » est un milieu naturel où vivent plusieurs espèces d’oiseaux protégés comme le balbuzard, le martin pêcheur d’Amérique, la grande aigrette, les crabiers ou encore le kios. L’endroit très apprécié par les touristes, sans doute en raison de la quiétude et la tranquillité des lieux. Le parc propose également aux visiteurs une bonne table d’hôtes sur place, avec des produits frais de la ferme. C’est le lieu idéal pour bien se ressourcer car le dépaysement est total
Territoire français d’Outremer, la Guadeloupe est un archipel de la mer des Caraïbes. Archipel ressemblant à un papillon, ses deux plus vastes îles sont séparées par la rivière Le Salée. Destination phare du tourisme, la Guadeloupe propose aux visiteurs des eaux d’une qualité exceptionnelle et d’une beauté incomparable. Quelles sont les activités à faire dans l’archipel ?
Les choses à faire en Guadeloupe sont diverses et variées. Mais l’une qui fait sans doute la renommée de l’archipel est la plongée sous marine. C’est l’une des activités les plus développées dans ce petit paradis des Antilles. Si vous êtes à la recherche de beaux trésors sous marins, la plongée vous est conseillée.
La plupart des hôtels de la Guadeloupe proposent aux touristes et visiteurs la possibilité de faire le premier « baptême de mer » pour certains, et la découverte des plus beaux fonds marins pour les autres. Le site de plongée le plus populaire de l’archipel se trouve à l’ouest de la côte de Basse Terre. Il est connu sous le nom de « Réserve Cousteau ».
A part le sable blanc, la mer, la végétation luxuriante, ou les beaux trésors marins, la Guadeloupe est connue également par ses rhums. Avec plus de 12 000 hectares consacrés à la plantation de canne à sucre, la Guadeloupe produit le meilleur rhum au monde. L’archipel produit deux types de rhum : le rhum agricole et le rhum de mélasse ou rhum industriel. A consommer avec modération.
La fabrication du rhum est assurée par 9 distilleries : le Domaine de Séverin, la distillerie Damoiseau, la distillerie Reimonenq, la distillerie Montebello, le Domaine du Marquisat Sainte-Marie, la distillerie Bologne, la distillerie Bielle, la distillerie Belle Vue et la distillerie Poisson.
Constituant une région dans le continent américain, les Caraïbes sont divisées en deux régions bien distinctes : les Grandes Antilles et les Petites Antilles. Les Grandes Antilles sont composées de Cuba, de la République Dominicaine, de Haïti, de Porto Rico ainsi que de la Jamaïque. Les Petites Antilles sont formées par les Antilles françaises, les ex-Antilles anglaises, les ex-Antilles néerlandaises et les îles sous tutelle des Etats-Unis. Plusieurs raisons peuvent amener à aimer les Caraïbes ?
La région des Caraïbes est composée de nombreuses îles et d’archipels. Bien entendu, îles et archipels riment avec plage, et la région n’en manque pas. Les plages des Caraïbes sont toutes aussi belles les unes que les autres. Ce sont de vrais joyaux avec une eau limpide, un sable blanc fin et un paysage à couper le souffle tel dans les cartes postales.
Si vous voulez savoir à quoi ressemble le paradis, vous devez visiter les plages comme le « Valley Church Beach » à Saint-John, la plage de Shoal Bay dans l’île d’Anguilla, la plage Sirenas à Cayo Largo à Cuba, ou encore le « Sand Bar Cay » aux Bahamas. Des véritables paradis sur terre, prisés par nombreux touristes du monde entier.
La cuisine caribéenne, un mélange de goûts et de couleurs
Si vous êtes amateurs de cuisine métissée, les Caraïbes vous proposent des plats succulents que vous ne risquerez jamais d’oublier. En effet, la cuisine caribéenne est un mélange de traditions européenne, indienne, africaine et orientale. Il y en a pour tous les goûts.
On mélange les saveurs venues d’ailleurs avec les produits locaux comme les poissons, les fruits de mer, les condiments, les épices, sans oublier les différentes variétés de piments qu’on peut trouver dans les différents marchés multicolores de la région. Un véritable délice qui va émerveiller les papilles.
Le mercredi 05 Octobre de 9h à 11h,
la richesse de la biodiversité locale au service des patients diabétiques
Le mercredi 12 Octobre de 9h à 10h,
visite guidée du Jardin Botanique de Basse-Terre
Le mercredi 19 Octobre à 9h,
à la découverte des Bonsaïs (atelier initiation)
Les ateliers et les visites sont gratuits, mais l’inscription est obligatoire.